Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Incontournables

Jérôme Delatour 
Feuilleter Danser
et Ballettanz

 

Photo

360-berlin.de (Berlin)
ArtComArt (France)
Patrick Berger (France)
Eric Boudet (France)
Cit'en scène (France)
Dance Photo (Berlin)
David-o.net (France)
Fédé Photo (France)
Images de danse (France)
Laurent Paillier (Paris)
Laurent Paillier sur Flickr...
et sur Photoshelter
Photodanse.fr
(Vincent Jeannot, Paris)
Photolosa (Toulouse)

Photoscène (Agathe Poupeney) : festival Paris Quartier d'été, festival Bains numériques
PlotPoint PicturesBerlin
Raphaël Pierre (Paris)
Jef Rabillon (Angers)
Christine Rogala

Nathalie Sternalski (Paca)

Tancelet.hu (Hongrie)
Terasz.hu (Hongrie) ZZZ
Ursula Kaufmann
(Allemagne)

YoanafotoDanza (Espagne)

Professionnels seulement :
Enguerand Bernand (France)
Pierre Grosbois (France)


Audio

Des Fourmis dans les jambes ♥♥♥
Movement Museum (interviews, Montréal) ♥♥♥


Vidéo

Article19 (Grande-Bretagne) ♥♥♥

Artsalive.ca (Canada) ♥♥♥
Chorème (Canada) ♥♥♥
CND, la saison en images
Concordia University (Canada)

Contemporary Body Movement... Research
Culturebox (France) ♥♥♥
Dance-tech.net
Dailymotion : l'exploration d'Images de danse
Danza.es (Espagne)
♥♥♥

ImPulsTanz (Vienne) ♥♥♥
Idança
(Portugal)
Kulturvision (Vienne)
♥♥♥ 
Movimiento.org ♥♥♥
Muvideo (Italie) ♥♥♥
Numeridanse (Lyon) ♥♥♥
Oc-tv (Toulouse)
On-line-dance.tv
ZZZ
Pacabox (région PACA)
TanzForumBerlin
(Berlin) ♥♥♥
Videodance.org.uk (infos et liens)
Videodance.org.uk sur Delicious (liens) ♥♥♥

Vimeo : Contemporary Dance ♥♥♥
YouTube : le choix d'Images de danse ♥♥♥

Vlogs

Weekly Rites (Clare Byrne) ♥♥♥
Dance Vids (Bam Productions) ZZZ
Dance Vlog (Lei Stone) ZZZ
Little Dances Everywhere (Zena Bibler)
Lo Studio 28
  ZZZ

 

Agendas et critiques

Scènes 2.0 ♥♥♥
Arcadi (Île-de-France)
CritikArt.net (France)

Contredanse (Belgique)
♥♥♥
Danzine.fr

Danse suisse (Suisse) ♥♥♥
Danstidningen (Suède)
DfDanse (Montréal)
EuroNews (reportages vidéo)
Fluctuat

Horschamp.org (Cassandre) ♥♥♥
Ladanse.com
La Terrasse
(Île-de-France)
La Tribune
Mediapart
Le Figaro
Le Monde
L'Humanité
Libération

Mouvement ♥♥♥
Obscena ♥♥♥
Offoffoff (New York)
ParisART (France)

Scènes magazine (Suisse)
Tanz.at
(Autriche)
Tanznetz.de ♥♥♥

Tanzserver-nrw (Allemagne)
Théâtre on line

Théâtrorama
Umoove

Des blogs comme
s'il en pleuvait

Artistes créatifs ZZZ
Berlin sur scènes

Bien culturel
♥♥♥
Blog de l'amitié créative
ZZZ
Blog de Ladanse.eu
Clochettes
♥♥♥
Counterfnord
♥♥♥
Cour ou jardin
ZZZ
Critiphotodanse

Da...nce ♥♥♥
Dance on Paper
Danse à l'Oeuvres ♥♥♥
Danse à Clermont
Danse-à-Montpellier ♥♥♥
Danse et dense
Dansez.info (Caen)
Dansistan
La Danza contemporanea

David-o.net

Double Je
ZZZ

Else danse
Favorites choses
Flailbox

I am what I am ZZZ
Idanca
(Portugal)
In the Mood for Jazz
Journal d'un danseur
♥♥♥
Le 06 danse (Alpes-Maritimes) ZZZ
Mezetulle
Miklos
Native Dancer
Networked_Performance

(danse en réseau)
O Melhor Anjo
♥♥♥

Panopticon
So...
ZZZ
Tadorne ♥♥♥
Uncoy ♥♥♥

Un soir ou un autre ♥♥♥

Zappingdanse ZZZ

<!-- Facebook Badge START --><a href="http://fr-fr.facebook.com/jerome.delatour" title="Jérôme Delatour" target="_TOP"><img src="http://badge.facebook.com/badge/1566402414.940.1441441975.png" alt="Jérôme Delatour" style="border: 0px;" /></a><!-- Facebook Badge END -->

Recherche


 
Agathe-Poupeney_Retrospective-photosensible.jpg
    Après l'album photo DC/VJ 2010 de Vincent Jeannot, toujours disponible, Agathe Poupeney publie Rétrospective photosensible, qui revient sur cinq années passées à photographier le festival Paris quartier d'été. Les plus radins le feuillèteront en ligne, les autres le commanderont ici
 
 

DVD toujours disponibles (critique un de ces jours ;-)...) : La danse : le ballet de l'Opéra de Paris de Frederick Wiseman ; Chic et danse 1, de Philippe Vallois (Nijinski, la marionnette de Dieu - Huguette Spengler, la nébuleuse du rêve)

 

Archives

Le meilleur de Flickr

15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 00:39

Marcela Levi, In-Organic (cl. Claudia Garcia)

Contre (Guy Degeorges - Un Soir ou un autre)

C’est de la danse contemporaine, c’est aussi une conférence, presque. A la place des mots : des poses, et des objets chargés de signification. Voire saturés. Marcela Levi met à contribution les signes masculins et féminins. A commencer par sa propre nudité, et des talons aiguilles, des barrettes à cheveux, un interminable collier de perles qui s’enroule en robe avant de se transformer en lasso. Et face mâle, une virile tête de taureau, bien lourde à porter, mise en mouvements par coups de reins vigoureux.

D’une certaine manière, Macela Levi se place en dehors de sa propre performance. Abuse des effets de lenteur et de répétition pour mieux la démonter. Et dénoncer ainsi toute la violence sociale qui au Brésil est associée aux rôles sexuels, le discours aidant : «He likes it, she likes it, and that how it is ». Le discours se fait féministe et militant. Evident. Il se trouve que c’est la journée mondiale contre les violences faites aux femmes, on se sentirait coupable de ne pas acquiescer.

Il n’empêche. Si c’est de la danse, celle-ci manque de force et de générosité. Si c’est une leçon de sociologie, celle-ci manque de subtilité. Trop appuyée et laborieuse. La lenteur souligne les actions, sans pour autant plus les éclairer. Quasi minéralisées. Il est symptomatique que l’on puisse, ainsi que Jérôme le fait, raconter à peu près tout ce qui est donné à voir. Mais tout est dit quand tout est montré, imaginaire bloqué. Pour surtout mettre en évidence les pièges d’une danse contemporaine où toute danse est évacuée, au profit de situations imposées, de messages univoques, symbôles trop dévoilés. Il se trouve que c’est aussi aujourd’hui le centenaire de Claude Levi Strauss, c’est d’une pensée, complexe, puissante, ouverte, dont nous avons besoin.


Pour (Images de danse)

In-organic.
Il est bien entendu, et le trait d'union l'assure, qu'il n'est pas ici question d'inorganique. Car il n'y a rien de minéral là-dedans. Il s'agit de ce qui est organique au dedans, je dirais viscéral.

Marcela Levi, ce frêle petit bout de femme nue, à peine plus haut sur ses talons presque aiguille, produit en solo des miniatures, des petits bijoux de précision. Chez elle toujours les mêmes quatre couleurs : blanc, rouge, noir, peau. On se doute que Marcela Levi n'est pas une fille facile. Elle tisse et défait dextrement les symboles. Un filet de colliers de perles raboutés d'un coup devient fil, comme un jet séminal ; s'enroule en corset puis, dévalant ses courbes d'une caresse, vient enserrer ses chevilles comme un lasso séquestre une vache. Des épingles à cheveux peuvent aussi figer une bouche.

Ce qu'il y a de viscéral en Marcela Levi, c'est sans doute son énergie mâle, le désir de cette énergie, d'allier force mentale féminine et force physique masculine. Elle aime affronter le public qu'elle regarde (ou couvre) avec une placide assurance. Comme symbole de son désir et de sa force, une tête de taureau qu'elle porte à bouts de bras comme un trophée, ou contre ses reins aux va-et-vient vigoureux pour mieux la posséder tout en possédant les autres. Nue ou soudain rhabillée - comme domestiquée -, génisse et taureau, dominatrice et dominée, elle-même trophée quand son profil se fige, bouche ouverte, elle admet et affronte les fatalités de son espèce, violentes et ancestrales. Car elle raconte aussi des histoires. L'histoire des vachers machos du village d'à-côté, ou quelque chose comme cela ; d'une belle voix brésilienne si caressante, comme un baume sur la dureté de son pays. L'histoire aussi d'un photojournaliste qui fait carrière sur la misère du monde. "C'est ainsi, il aime ça, elle aime ça. Yeah !" Ce leitmotiv rêveur, répété avec un petit sourire entendu et satisfait, presque gourmand, alterne avec un refrain bruyant, de sabat, d'obscène obsessionnel par sa mécanique.

L'exact objet de la démonstration nous échappe, mais on comprend tout de suite de quoi Marcela parle. Mettant à profit la sensualité de son corps pour mieux subvertir les représentations machistes, elle emploie un procédé classique de la performance féministe. Pour autant, son féminisme est d'aujourd'hui ; il n'est plus question de seulement présenter l'homme comme un bourreau et la femme comme une victime. Entre domination et séduction, acceptation et révolte, Marcela Levi sème le trouble et produit de ce fait, sans doute, la performance la plus érotique des Inaccoutumés.

♥♥♥♥♥♥ In-organic, de Marcela Levi, a été donné à la Ménagerie de Verre les 25-27 novembre 2008 dans le cadre du festival Les Inaccoutumés.
Partager cet article
Repost0

commentaires

V
J'ai lu quelque part que Marcela aime nommer les objets dont elle se sert comme 'subjets' au sens qu'ils seraient enlevés de son emploi habituel pour être re-signifiés (subjectivés) dans la scène en relation avec son corps.On serait alors libre selon notre propre subjectivité pour leur apporter des nouvelles significations.J'aime penser à la déesse Hestia qui incarne le foyer domestique, la flamme sacrée qui brûle sans cesse dans les demeures et dans les temples, et qui les purifie. Bref, question de foutre.
Répondre
J
Oui, bien sûr, l'érotisme dans ce solo n'a qu'un rôle secondaire. Ce sont évidemment des thèmes politiques et de société que Marcela Levi veut développer... Même si un politicien aurait sans doute du mal à en tirer un programme politique !En tout cas merci pour les encouragements qui sont toujours appréciés et... si vous pouvez me dire la signification du feu de signalisation rouge dans la bouche, je cherche toujours !
Répondre
V
Mais si que je l'ai vu. Je l'ai vue au Brésil et c'est à cause d'elle, dont j'aime bien le travail, que j'ai trouvé votre site qui m'a également  beaucoup plu. Votre compte rendu montre une très fine perception d'In-organic qui en plus d'avoir un aspect sans doute érotique, a aussi bien, à mon avis, une pente poétique et politique très forte. Mais je crois que, enigmatique et un petit peu gênant, il ne s'offre pas si facilement à la jouissance qu'au désir. Le désir qui, lui, a sûrement comme condition un certain temps d'abstinence qui déclanche l'érotisme.Merci de votre attention et mes congratulations pour imagesdedanse.
Répondre
J
L'abstinence ;-) ?Plus sérieusement, le problème est que la notion d'érotisme est extrêmement vague (voir p. ex. les définitions que donne le Trésor de la langue française). Pour ma part, je plaiderais qu'il n'y a pas de jouissance sans érotisme - ou si vous préférez, que l'érotisme est la condition de toute jouissance humaine. C'est dire, évidemment, comme cet érotisme varie d'un individu à l'autre !- Mais je crois que nous éloignons beaucoup du solo de Marcela Levi, que peut-être vous n'avez pas vu...
Répondre
V
Ce qui me semble pourtant nouveau est l'accès de plus en plus facile à des modes de jouissance qui se passent du moindre érotisme. Et vous avez bien raison: rien à regretter. Mais ça n'empêche pas qu'on se rende compte de ce qu'on y perd et bien sûr de ce qu'on y gagne. Je pense que les gens pensent moins et moins bien quand elles ont ce type d'accès aisé à la jouissance sans aucun frein. Côté gagnant, on prend plus son pied... Est-ce qu'on n'aurait pas une autre choix à part le fétichisme et l'obsession?
Répondre

Articles RÉCents

Festivals & cies

Quelques festivals...


Hiver


Artdanthé (Vanves, entre novembre et mars)
Faits d'Hiver (Île-de-France, janvier)
Tanztage Berlin (janvier)
SzólóDuó Tánc Nemzetközi Fesztivál (Budapest)
Escena contemporanea (Madrid, janvier-février)
Vivat la danse ! (Armentières, février)
Tanzplattform (février, Allemagne)  
DañsFabrik (Brest, février-mars)
Les Hivernales d'Avignon (Avignon, février-mars)
Tanz Bremen (Brème, mars)
Les Repérages (Lille, mars)
Biennale nationale de danse du Val-de-Marne (mars-avril)

Printemps


Biennale de danse de Charleroi (mars-mai)
Freedance
(Dniepropetrovsk, Ukraine, avril)
Brasil Move Berlim (Berlin, avril)

Springdance (Utrecht, avril)
La danse de tous les sens (Falaise, mai)

Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis (Île-de-France, mai-juin)

Festival TransAmériques (Montréal, mai-juin)
Tanec Praha
(Prague, juin)
Dance Week Festival (Zagreb, juin)
Uzès Danse
(Uzès, juin)
Latitudes contemporaines (Lille, juin)
Alkantara festival (juin)
Zawirowania (Varsovie, juin)

Eté


Festival de Marseille (juin-juillet)

Montpellier danse (Montpellier, juin-juillet)
Festival d'Avignon (Avignon, juillet)
L'Eté des Hivernales (Avignon, juillet)
ImPulsTanz (Vienne, juillet-août)
Paris quartier d'été (Paris, juillet-août)
Internationale Tanzmesse nrw (Düsseldorf, août)
Tanz im August (Berlin, août-septembre)

Automne


Biennale de la danse (Lyon, septembre)

Le Temps d'aimer (Biarritz, septembre)
Plastique Danse Flore (Versailles, septembre)
Dansem (Marseille, septembre-octobre)
Sidance (Séoul, septembre-octobre)
iDans (Istanbul, septembre-octobre)

Ciało/Umysł (Varsovie, septembre-octobre)
Festival d'Automne (Paris, septembre-décembre)
Les Eclats chorégraphiques (Poitou-Charentes, octobre)
Tanzhautnah (Cologne, octobre)
123Tanz (Hall, Autriche, octobre)
Tanztendenzen (Greifswald, octobre)
Bøf (Budapest, octobre)
Panorama de dança (Rio de Janeiro, octobre-novembre)
Dance (Munich, octobre-novembre)
Fest mit Pina (Allemagne, novembre)
Euro Scene Leipzig (novembre)
Les Inaccoutumés (Paris, novembre-décembre)
Decemberdance (Bruges, décembre)

Dates variables


DatanzDa (Zürich)
Les Grandes traversées (Bordeaux)
Ikonoclaste (Wuppertal)
Junge hunde (Kanonhallen, Danemark)



... & compagnies


cie l'Abrupt (Alban Richard) VID
Absolutamente (Jesus Sevari)
AIME (Julie Nioche)
Aitana Cordero VID
Alias (Guilherme Botelho)
Ann Liv Young DVD
Anna Halprin
Ann van den Broek VID
cie Ariadone (Carlotta Ikeda) VID
Arthur Kuggeleyn + Co.
As Palavras (Claudio Bernardo) VID
Association Achles (David Wampach) VID
Association Edna
(Boris Charmatz)
cie Caterina Sagna VID
cie Cave canem (Philippes Combes) VID
cie Christine Le Berre
cie C.Loy (Cécile Loyer) VID
Corps indice (Isabelle Choinière) VID
cie Dans.Kias (Saskia Hölbling) DVD
cie DCA (Philippe Decouflé) VID
Deja donne
(Lenka Flory et Simone Sandroni) VID
Digital Video Dance Art (Iker Gómez) VID
Dorky Park (Constanza Macras) VID
Editta Braun Company VID
Erna Omarsdottir VID
cie Felix Ruckert
Les Gens d'Uterpan (Annie Vigier/Franck Apertet)
cie Gilles Jobin DVD VID
cie Greffe (Cindy van Acker)
Groupe Noces (Florence Bernad) VID
Hors Commerce (Hélène Cathala) VID
cie Isabelle Schad
Jeremy Wade
cie Jocelyne Danchik VID
cie Jours tranquilles (Fabrice Gorgerat)
cie Kataline Patkaï
Katharina Vogel VID
Kekäläinen & Company
cie Krisztina de Châtel DVD
Kwaad bloed vzw
(Charlotte vanden Eynde & Ugo Dehaes)
L1 danceLab (collectif hongrois)
La BaZooKa VID
La Ribot DVD
La Ventura et cie (Anna Ventura) VID
La Zampa (Magali Milian-Romuald Luydlin) VID -> photos
cie L'Explose (Tino Fernández)

cie Li-Luo (Camille Mutel) VID
Liquid Loft (Chris Haring) VID
Marcela Levi VID
cie Marie Chouinard
VID
Márta Ladjánszki VID
Mette Ingvartsen VID
MHKArt (Meryt-Halda Khan) VID
Michèle Noiret VID
Mossoux-Bonté DVD VID
Niko Raes VID
Olga Pona VID
cie Pal Frenak
Perrine Valli
Pé Vermeersch VID
cie Philippe Saire
cie Post-Retroguardia (Paco Dècina)
Quasi Stellar (Apostolia Papadamaki)
Re.al (João Fiadeiro) VID
Real dance Super Sentai (Ines Birkhan & Bertram Dhellemmes)
cie Rosalind Crisp
VID
Rosas (A. T. de Keersmaeker) DVD
RoseAnne Spradlin Dance
Sinequanon VID
Sol Picó
Superamas VID
cie Thor (Thierry Smits) VID
cie Toufik OI VID
Troubleyn
(Jan Fabre)
Ultima vez (Wim Vandekeybus) DVD VID
United-C (M. van der Put / P. Roelants) VID
Virginie Brunelle

Viviana Moin
XLproduction (Maria Clara Villa-Lobos) VID
Yasmeen Godder VID
Yves-Noël Genod

VID